Ca y est, le bout de l'aventure se rapproche à très très grands pas puisque le départ de la Californie est prévu pour dans moins d'un mois maintenant. Il ne coïncidera pas totalement avec le retour en France, mais nous aurons le temps d'en reparler en temps utile. Mais ayant la date de départ de la Californie, je m'efforce ces derniers temps de profiter des environs de cette magnifique région. Ainsi chaque week-end, libéré de l'obligation d'aller participer à des matchs de foot vu que la saison s'est achevée, est l'occasion d'une petite escapade en dehors de la Bay Area.
Ainsi, les parcs de Point Reyes, Pinnacles National Monument, le lac Clear Lake (situé au nord de la Baie), la petite ville de Sonoma et ses vignes ainsi que Monterrey et encore Carmel-by-the-sea ont vu mes pieds fouler leurs platebandes. En ce moment, le temps en Californie est très doux et ensoleillé (comme souvent à cette époque de l'année parait-il... l'année dernière étant une exception...) et incite fortement à aller balader ses guêtres un peu partout.
Donc là dedans, ce fut randonnée sur collines avec coucher de soleil un peu rapide qui fait qu'on termine dans la nuit, balade dans une grotte, sur des plages, sur des cailloux face à la mer, dans des petites villes, dans des villes un peu plus grandes. Bref un peu de tout, c'est très agréable.
Alors que raconter là dessus, pas grand chose, tout cela n'est pas très original mais bon rien de ce que j'ai raconté dans ce blog n'est original de toute façon. Finalement, c'est peut-être de San Francisco dont je peux parler puisque j'y fais très peu référence alors que tout de même je vis juste à coté. Cela étant, malgré le fait que je vive à quelques kilomètres de cette ville, j'y passe très peu de temps. En effet, pour aller à SF, c'est pénible. Le Bart, n'en parlons pas, la fréquence des métros est telle qu'il est juste horripilant de s'en servir et la voiture, et bien il faut traverser le Bay Bridge, ce qui donne lieu à une superbe vue sur la ville, mais il coute tout de même la bagatelle de 6$ et puis en termes de temps de trajet, il faut bien une bonne vingtaine-trentaine de minutes pour arriver au moindre point d'intérêt. Tout cela n'est pas très pénible vous me direz, mais si c'est uniquement pour aller au restaurant, finalement le coté est de la Baie est tout aussi agréable.
Je ne rejette cependant pas cette jolie ville qui a quelques petits trésors dans ses murs. Et notamment pour un expat français, il est très agréable de pouvoir aller déguster une crêpe tout ce qu'il y a de plus bretonne avec un bon bolet de cidre en plein milieu du quartier mexicain. Ainsi le restaurant nommé "La couz" est un bol d'air pour les nostalgiques du pays. Je n'aurais jamais pensé dire ça mais c'est vrai que ça fait plaisir de retrouver un peu le lien avec son pays. Non pas que je sois spécialement breton ou plus fan que ça de crêpes mais déjà avoir une nourriture qui ne déborde pas de gras comme la plupart des choses que l'on peut manger ici, c'est agréable. Enfin ne pas déborder de gras c'est vite dit, mais enfin pas le même type de gras en tout cas. Du bon vieux gras français :D
A cela il faut bien rajouter tous les points de vue que cette ville offre et là j'avoue, dans ce domaine, c'est un régal. Entre les vues de nuit sur Lombard Street, la vue offerte à Alamo Square et ses fameuses maisons colorées (les premières construites à San Francisco), la vue sur les immeubles depuis l'ile de Treasure Island (située entre SF et l'est de la Baie et atteignable par voiture depuis le Bay Bridge), la vue plongeante de Twin Peaks et celle éloignée mais panoramique de l'autre coté du Golden Gate, il y a de quoi faire pour le petit photographe amateur que je suis. Je compile donc ici quelques-unes des vues que l'on peut avoir de la ville et notamment les quelques prises de vues nocturnes que j'ai pu en faire.
Enfin, je me dois aussi d'évoquer mon tout dernier week-end en date qui prit place aux abords du Lac Tahoe pour une ultime session de snowboard avant le départ de Californie. Comme l'année dernière, nous avons, avec des amis, investi une maison louée pour le week-end au sud du Lac. Plusieurs stations de ski entourent le Lac qui est situé dans les montagnes, au nord-est de SF, et nous avons divisé le week-end en deux. Premier jour, tour du Lac en voiture pour observer la beauté de la chose, puis une deuxième journée qui fut, pour moi, ma seconde expérience en snowboard. Je confirme donc mon intérêt pour le snowboard que j'avais découvert l'année dernière et j'ai hate de rechausser une planche pour aller rider la poudreuse en France ou ailleurs. Quand au Lac en lui-même, j'ai essayé d'en rendre un peu la beauté dans quelques photos, mais je ne pense pas avoir réussi à en sortir vraiment l'essence. Bref, j'aurais essayé.
Voilà, je compte les jours qui me séparent du départ avec une certaine impatience, mais j'apprécie toujours avec un plaisir non feint toutes les beautés naturelles ou non que peut offrir ma terre d'accueil.
Et je vais conclure cette note sur deux coups de coeur cinéma, parce que ça fait bien longtemps que j'en ai pas parlé ici et qu'il y a deux films qui vont pas tarder à sortir en France et qui valent vraiment le coup. Tout d'abord, le dernier film de Darren Aronofsky (réalisateur de Pi, Requiem for a Dream, The Fountain et The Wrestler), Black Swan. On suit lors de ce film la vie d'une danseuse étoile et notamment comment elle appréhende l'interprétation du personnage du Black Swan donc. Cette danseuse est interprétée par Natalie Portman et comme à son habitude maintenant, elle franchit encore un cap dans la qualité de son interprétation. C'est simple, on a vraiment l'impression qu'elle a fait danseuse étoile toute sa vie, et toute l'intensité de son drame interne ressort par tous les pores de sa peau, meurtrie. Elle est bouleversante. J'ai personnellement beaucoup de mal à trouver une actrice que j'apprécie, principalement je pense par les rôles que les réalisateurs leur confèrent qui sont généralement des rôles de pleureuse ou de femmes qui suivent leurs maris contre vents et tempêtes. A l'opposé, j'adore beaucoup d'acteurs masculins tels que Dustin Hoffman, Robert de Niro, Harvey Keitel et autres qui proposent des personnages souvent durs, mais vrais et profonds. Là, Natalie Portman est en train de devenir la première actrice qui arrive à tenir un film à elle seule, qui arrive par un regard, par une attitude à imposer une émotion et à capter toute l'attention. Je suis admiratif et j'espère la voir encore dans beaucoup de rôles à sa hauteur. Le costume du Black Swan est très dur à porter et elle y arrive avec une émotion superbe. Dans sa suite, Vincent Cassel est lui aussi à la hauteur, comme à son habitude également. Il interprète un directeur de ballet ignoble et génial en même temps et son emprise sur les gens, sur les danseuses est bien servie par son charisme naturel, rien à dire. Et enfin, last but not least, le réalisateur est également au rendez-vous et même s'il utilise énormément de petits "procédés", de petits trucs, il les utilise avec subtilité et de manière à réellement aider son propos et son ambiance en tirant le tout vers le haut. Donc grande réussite de ce coté là aussi.
En résumé, je suis sorti sous le choc (car c'est un film très dur tout de même) et enthousiasmé. Un film maitrisé de bout en bout et interprété aussi magistralement, on n'en voit pas si souvent et j'en remercie vivement les protagonistes !
Le deuxième coup de coeur nous vient d'un autre réalisateur bien connu : Danny Boyle. Petit rappel de ses faits d'armes : Petits meurtres entre amis, Trainspotting, Une vie moins ordinaire, la plage, 28 jours plus tard, etc... Je me suis personnellement arrêté au moment où il s'est lancé dans le film de Science Fiction (Sunshine) et de zombies (28 jours plus tard et suite donc). Mais j'étais resté sur de très bons souvenirs avec des films toujours efficaces et ne tombant pas forcément dans la facilité. Il nous sert cette année un film basé sur une histoire vraie : 127 heures. Le film prend place aux Etats-Unis et va suivre un randonneur dans le Parc National de Canyonland situé au Nord-ouest du Grand Canyon, en amont du Glen Canyon et juste à coté du fameux Parc Arches. Je n'ai pas eu la chance d'aller dans ce Parc en particulier mais les images de ce film donnent vraiment envie d'aller s'y balader. L'histoire en elle-même, je ne vais pas la raconter mais sachez juste que c'est là encore un film très dur psychologiquement (et un peu visuellement aussi). C'est un des rares films où j'ai pensé sortir de la salle car ne pouvant pas tenir l'atmosphère pesante. Cela ne fera vraisemblablement pas le même effet chez tout le monde, mais je suis très sensible à l'atmosphère imposée, extrèmement réaliste (et encore je pense que la réalité fut pire pour le véritable protagoniste). Personnellement, je me suis senti concerné par ce film car finalement sa randonnée dans le Parc, j'avais l'impression d'en avoir fait une très similaire peu de temps auparavant dans le Joshua Tree. D'ailleurs le début du film peut faire vraiment ressentir ce que j'ai vécu. A partir du moment où l'événement principal du film survient, bien évidemment, cela n'a plus rien à voir. Mais l'euphorie dans laquelle il est lors de la balade initiale ressemble réellement à mon expérience américaine. Ce point purement personnel passé, le film en lui-même est oppressant, prenant, intense et là aussi extrèmement maitrisé. La réalisation est grandiose, dans l'excès et la vivacité. Danny Boyle n'a rien perdu de son efficacité et ce film m'a donné envie de me replonger dans ses films que je n'ai pas vus. En résumé, visuellement, ce film est une tuerie pour deux points: les paysages qui sont sublimes et la réalisation brute qui en sort le meilleur et intrinsèquement ce film est dur mais vrai et intense. On vit avec le protagoniste, on endure ce qu'il endure et on en ressort aussi faible que lui. Bref, une réussite totale. Si vous n'avez pas peur d'être oppressé, foncez, ce film est une tuerie.
Ainsi, les parcs de Point Reyes, Pinnacles National Monument, le lac Clear Lake (situé au nord de la Baie), la petite ville de Sonoma et ses vignes ainsi que Monterrey et encore Carmel-by-the-sea ont vu mes pieds fouler leurs platebandes. En ce moment, le temps en Californie est très doux et ensoleillé (comme souvent à cette époque de l'année parait-il... l'année dernière étant une exception...) et incite fortement à aller balader ses guêtres un peu partout.
Donc là dedans, ce fut randonnée sur collines avec coucher de soleil un peu rapide qui fait qu'on termine dans la nuit, balade dans une grotte, sur des plages, sur des cailloux face à la mer, dans des petites villes, dans des villes un peu plus grandes. Bref un peu de tout, c'est très agréable.
Alors que raconter là dessus, pas grand chose, tout cela n'est pas très original mais bon rien de ce que j'ai raconté dans ce blog n'est original de toute façon. Finalement, c'est peut-être de San Francisco dont je peux parler puisque j'y fais très peu référence alors que tout de même je vis juste à coté. Cela étant, malgré le fait que je vive à quelques kilomètres de cette ville, j'y passe très peu de temps. En effet, pour aller à SF, c'est pénible. Le Bart, n'en parlons pas, la fréquence des métros est telle qu'il est juste horripilant de s'en servir et la voiture, et bien il faut traverser le Bay Bridge, ce qui donne lieu à une superbe vue sur la ville, mais il coute tout de même la bagatelle de 6$ et puis en termes de temps de trajet, il faut bien une bonne vingtaine-trentaine de minutes pour arriver au moindre point d'intérêt. Tout cela n'est pas très pénible vous me direz, mais si c'est uniquement pour aller au restaurant, finalement le coté est de la Baie est tout aussi agréable.
Je ne rejette cependant pas cette jolie ville qui a quelques petits trésors dans ses murs. Et notamment pour un expat français, il est très agréable de pouvoir aller déguster une crêpe tout ce qu'il y a de plus bretonne avec un bon bolet de cidre en plein milieu du quartier mexicain. Ainsi le restaurant nommé "La couz" est un bol d'air pour les nostalgiques du pays. Je n'aurais jamais pensé dire ça mais c'est vrai que ça fait plaisir de retrouver un peu le lien avec son pays. Non pas que je sois spécialement breton ou plus fan que ça de crêpes mais déjà avoir une nourriture qui ne déborde pas de gras comme la plupart des choses que l'on peut manger ici, c'est agréable. Enfin ne pas déborder de gras c'est vite dit, mais enfin pas le même type de gras en tout cas. Du bon vieux gras français :D
A cela il faut bien rajouter tous les points de vue que cette ville offre et là j'avoue, dans ce domaine, c'est un régal. Entre les vues de nuit sur Lombard Street, la vue offerte à Alamo Square et ses fameuses maisons colorées (les premières construites à San Francisco), la vue sur les immeubles depuis l'ile de Treasure Island (située entre SF et l'est de la Baie et atteignable par voiture depuis le Bay Bridge), la vue plongeante de Twin Peaks et celle éloignée mais panoramique de l'autre coté du Golden Gate, il y a de quoi faire pour le petit photographe amateur que je suis. Je compile donc ici quelques-unes des vues que l'on peut avoir de la ville et notamment les quelques prises de vues nocturnes que j'ai pu en faire.
Enfin, je me dois aussi d'évoquer mon tout dernier week-end en date qui prit place aux abords du Lac Tahoe pour une ultime session de snowboard avant le départ de Californie. Comme l'année dernière, nous avons, avec des amis, investi une maison louée pour le week-end au sud du Lac. Plusieurs stations de ski entourent le Lac qui est situé dans les montagnes, au nord-est de SF, et nous avons divisé le week-end en deux. Premier jour, tour du Lac en voiture pour observer la beauté de la chose, puis une deuxième journée qui fut, pour moi, ma seconde expérience en snowboard. Je confirme donc mon intérêt pour le snowboard que j'avais découvert l'année dernière et j'ai hate de rechausser une planche pour aller rider la poudreuse en France ou ailleurs. Quand au Lac en lui-même, j'ai essayé d'en rendre un peu la beauté dans quelques photos, mais je ne pense pas avoir réussi à en sortir vraiment l'essence. Bref, j'aurais essayé.
Voilà, je compte les jours qui me séparent du départ avec une certaine impatience, mais j'apprécie toujours avec un plaisir non feint toutes les beautés naturelles ou non que peut offrir ma terre d'accueil.
Et je vais conclure cette note sur deux coups de coeur cinéma, parce que ça fait bien longtemps que j'en ai pas parlé ici et qu'il y a deux films qui vont pas tarder à sortir en France et qui valent vraiment le coup. Tout d'abord, le dernier film de Darren Aronofsky (réalisateur de Pi, Requiem for a Dream, The Fountain et The Wrestler), Black Swan. On suit lors de ce film la vie d'une danseuse étoile et notamment comment elle appréhende l'interprétation du personnage du Black Swan donc. Cette danseuse est interprétée par Natalie Portman et comme à son habitude maintenant, elle franchit encore un cap dans la qualité de son interprétation. C'est simple, on a vraiment l'impression qu'elle a fait danseuse étoile toute sa vie, et toute l'intensité de son drame interne ressort par tous les pores de sa peau, meurtrie. Elle est bouleversante. J'ai personnellement beaucoup de mal à trouver une actrice que j'apprécie, principalement je pense par les rôles que les réalisateurs leur confèrent qui sont généralement des rôles de pleureuse ou de femmes qui suivent leurs maris contre vents et tempêtes. A l'opposé, j'adore beaucoup d'acteurs masculins tels que Dustin Hoffman, Robert de Niro, Harvey Keitel et autres qui proposent des personnages souvent durs, mais vrais et profonds. Là, Natalie Portman est en train de devenir la première actrice qui arrive à tenir un film à elle seule, qui arrive par un regard, par une attitude à imposer une émotion et à capter toute l'attention. Je suis admiratif et j'espère la voir encore dans beaucoup de rôles à sa hauteur. Le costume du Black Swan est très dur à porter et elle y arrive avec une émotion superbe. Dans sa suite, Vincent Cassel est lui aussi à la hauteur, comme à son habitude également. Il interprète un directeur de ballet ignoble et génial en même temps et son emprise sur les gens, sur les danseuses est bien servie par son charisme naturel, rien à dire. Et enfin, last but not least, le réalisateur est également au rendez-vous et même s'il utilise énormément de petits "procédés", de petits trucs, il les utilise avec subtilité et de manière à réellement aider son propos et son ambiance en tirant le tout vers le haut. Donc grande réussite de ce coté là aussi.
En résumé, je suis sorti sous le choc (car c'est un film très dur tout de même) et enthousiasmé. Un film maitrisé de bout en bout et interprété aussi magistralement, on n'en voit pas si souvent et j'en remercie vivement les protagonistes !
Le deuxième coup de coeur nous vient d'un autre réalisateur bien connu : Danny Boyle. Petit rappel de ses faits d'armes : Petits meurtres entre amis, Trainspotting, Une vie moins ordinaire, la plage, 28 jours plus tard, etc... Je me suis personnellement arrêté au moment où il s'est lancé dans le film de Science Fiction (Sunshine) et de zombies (28 jours plus tard et suite donc). Mais j'étais resté sur de très bons souvenirs avec des films toujours efficaces et ne tombant pas forcément dans la facilité. Il nous sert cette année un film basé sur une histoire vraie : 127 heures. Le film prend place aux Etats-Unis et va suivre un randonneur dans le Parc National de Canyonland situé au Nord-ouest du Grand Canyon, en amont du Glen Canyon et juste à coté du fameux Parc Arches. Je n'ai pas eu la chance d'aller dans ce Parc en particulier mais les images de ce film donnent vraiment envie d'aller s'y balader. L'histoire en elle-même, je ne vais pas la raconter mais sachez juste que c'est là encore un film très dur psychologiquement (et un peu visuellement aussi). C'est un des rares films où j'ai pensé sortir de la salle car ne pouvant pas tenir l'atmosphère pesante. Cela ne fera vraisemblablement pas le même effet chez tout le monde, mais je suis très sensible à l'atmosphère imposée, extrèmement réaliste (et encore je pense que la réalité fut pire pour le véritable protagoniste). Personnellement, je me suis senti concerné par ce film car finalement sa randonnée dans le Parc, j'avais l'impression d'en avoir fait une très similaire peu de temps auparavant dans le Joshua Tree. D'ailleurs le début du film peut faire vraiment ressentir ce que j'ai vécu. A partir du moment où l'événement principal du film survient, bien évidemment, cela n'a plus rien à voir. Mais l'euphorie dans laquelle il est lors de la balade initiale ressemble réellement à mon expérience américaine. Ce point purement personnel passé, le film en lui-même est oppressant, prenant, intense et là aussi extrèmement maitrisé. La réalisation est grandiose, dans l'excès et la vivacité. Danny Boyle n'a rien perdu de son efficacité et ce film m'a donné envie de me replonger dans ses films que je n'ai pas vus. En résumé, visuellement, ce film est une tuerie pour deux points: les paysages qui sont sublimes et la réalisation brute qui en sort le meilleur et intrinsèquement ce film est dur mais vrai et intense. On vit avec le protagoniste, on endure ce qu'il endure et on en ressort aussi faible que lui. Bref, une réussite totale. Si vous n'avez pas peur d'être oppressé, foncez, ce film est une tuerie.
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