Comme précédemment annoncé, le premier week-end prolongé a eu lieu il y a peu à l'occasion du Memorial day (en l'honneur des victimes de guerre de manière générale) et le lundi férié me permis donc d'organiser une petite fuite de la Bay Area à destination d'un Parc.
Le lieu choisi fut la zone de Big Sur, zone côtière située à environ 3 heures de route de San Francisco en direction du sud. Elle est caractérisée par l'effondrement de la montagne côtière dans l'océan et donne donc lieu à des points de vue particulièrement impressionnants. J'avais eu l'occasion de traverser cette zone au pas de course lors d'un voyage en voiture en direction de Los Angeles et d'ainsi tout le potentiel de celle-ci.
Les trois jours furent alors occupés entre randonnées, découverte de la ville de Monterrey et de ses rochers et appréciation de points de vue extraordinaires. Ce week-end fut également à placer sous le signe du règne animal avec la rencontre de diverses espèces, tant terrestres que maritimes ou aériennes. Le premier jour, celui de l'arrivée sur les lieux, nous décidâmes d'entamer notre visite par la randonnée qui allait s'avérer être la plus longue mais pas forcément la plus chatoyante.
Nous avons ainsi atterri dans le Big Pfeiffer State Park (oui la zone de Big Sur est en fait découpée en plusieurs Parcs d'Etat et non un grand Parc National. Elle est cependant très liée à une zone Nationale : la Los Padres National Forest, mais bon on ne peut pas non plus la décrire comme un Parc National.. bref) et attaqué la randonnée qui nous allait nous amener au pied du Mont Manuel. Cette randonnée ne fut pas choisie au hasard.. un de nos protagonistes portant ce nom, il semblait logique qu'il doive gravir la Manuel Trail en direction du Manuel Peak, c'était drole. Oui on s'amuse avec un rien mais que voulez-vous. Bref, notre ascension dura près de 3 heures (bon on a commencé vers 16h.. le trajet aller fut un peu super long) au sein de collines plus vertes les unes que les autres. C'est bien simple, on aurait rien dit le fond d'écran basique de Windows... mais si, celui avec la colline toute verte et le petit nuage blanc en plein milieu ! Bon j'espère que vous voyez duquel je parle ! Pris dans les collines, nous n'avions pas au départ vu sur grand chose, mais au fur et à mesure que nous avons gravi les collines, nous avons pu avoir vue sur l'océan et les collines environnantes ce qui n'était ma foi pas désagréable du tout. Vu l'heure tardive à laquelle nous avons commencé, nous ne pûmes atteindre le sommet convoité et avons du nous arrêter alors qu'il était à portée de vue. Bien nous en a pris de rebrousser chemin, nous avons atteint la voiture au moment où l'obscurité devenait réellement gênante et je n'ose pas trop imaginer ce qui aurait pu arriver si nous avions retardé notre retour étant donné que tout le chemin se faisait sur un flanc de colline relativement escarpé. J'ai d'ailleurs failli tomber, ainsi qu'un des mes collègues.
Ce premier jour fut donc rapide mais épuisant (5 heures de marche tout de même avec pour ma part un sac relativement lourd, voulant épargner les autres d'une surcharge inutile). Nous nous sommes donc écroulés dans un motel relativement miteux dans la ville de Salinas située à environ une heure de voiture du parc que nous venions de quitter. Anecdote amusante, j'avais réservé pour 3 personnes, nous sommes arrivés à quatre et il s'est avéré que la chambre ne contenait qu'un seul lit... Oui il est possible de réserver pour 3 personnes et n'avoir qu'un lit double... Bref, j'ai passé la nuit avec mon pote Manuel sur le sol, reposant néanmoins sur le dessus de lit plutot épais qui était heureusement fourni. Au final, cette nuit ne fut pas si horrible et mon corps ne cria pas au désespoir le lendemain.
Deuxième journée, la plus complète, nous fit débuter par la ville de Monterrey située à quelques encablures de notre motel. Cette ville est célèbre pour son aquarium, mais l'effet "week-end de 3 jours" ayant attiré un nombre extrêmement conséquent de touristes, nous abandonnâmes l'idée de le visiter dès que nous avons pu observer le nombre de gens qui attendaient pour y entrer. Par contre, nous avons pu nous poser au bord de l'océan et observer la vie animale qui y est fortement présente. Ainsi, nous avons pu voir des Sea Otters (loutres de mer) se balader sous le nez des touristes charmés par leur charisme et plus fort, nous avons pu aller quasiment au contact d'un Seal (phoque) venu se reposer sur les rochers à fleur de côte. Après ce premier contact animalier, nous nous sommes attaqués à la chasse aux crabes, aux anémones et autres étoiles de mer qui pulullent les rochers alentours. Intermède relaxant et amusant. J'ai pour ma part nettement plus profité des rochers pour crapahuter et m'entrainer à grimper sur tout ce que je pouvais. Comme d'habitude en somme.
Ceci nous occupa la matinée et nous avons ensuite trouvé réconfort dans un restaurant japonais à nous repaître de sushis et pour ma part, d'un succulent udon. Suite à cela, une des protagonistes nous abandonna pour raisons familiales (oui ça reste un week-end familial pour les locaux) et nous avons continué notre route à trois, en direction d'un point bien plus éloigné : le Julia Pfeiffer State Park. Parc d'état situé le plus au sud dans la zone de Big Sur, il abrite quelques pistes de randonnées et surtout une vue imprenable sur une cascade débouchant directement sur une plage. Vision de paradis en quelque sorte. Première arrivée en début d'après-midi, nous jetons un oeil à cette vue puis décidons d'aller se balader sur une piste de randonnée. Malheureusement, un panneau nous indique qu'elles sont fermées pour cause de grands dommages survenus deux ans auparavant, où un feu esquinta une grande partie de la forêt. Bon.. effectivement, nous prîmes le chemin de la randonnée pour suivre un peu le cours d'eau qui nous invitait à le remonter et nous arrivâmes rapidement sur un petit panneau nous empêchant de continuer. Mais le chemin était trop tentant et nous avons ignoré l'interdiction pour nous aventurer un peu plus loin sur le chemin. En fait, la piste était effectivement encombrée de nombreux obstacles un peu partout, mais n'était absolument pas impraticable et ne justifiait point du tout une interdiction. Cette balade, alors libérée de tout touriste, fut la plus agréable car abritée du soleil, au fil d'une rivière agitée et composée de nombreuses petites cascades. Et puis les obstacles c'est plus drole, car il faut se trouver son chemin plutot que de suivre bêtement la piste. Vraiment très agréable. Et cette balade atteignit son point culminant au moment où nous avons eu l'énorme chance de pouvoir observer dans le ciel, le locataire le plus majestueux des lieux : un condor ! Alors je mets ici une des meilleures photos que j'ai pu avoir, mais ce ne fut pas simple, il était loin.. Mais quelle chance cela était ! Pour information, les condors dans cette zone seraient de l'ordre de la quinzaine et de l'ordre de 150 dans le monde. Ca fait pas lourd :) Donc on a eu une chance assez incroyable sur le coup.
Après cette rencontre, nous avons pris le chemin du retour et sommes retournés au panorama enchanteur de la vision de paradis sous un soleil couchant. Point amusant, la cascade donnant sur la plage est normalement interdite d'accès mais il est néanmoins possible de l'atteindre (nous ne l'avons pas fait car chemin bloqué pour cause de protection de la nature en elle-même, pas parce que c'était dangereux, chose qui ne nous aurait pas arrêtée) et quelques petits malins se situaient à la base de la cascade au moment où la lumière était la meilleure pour les photos. On ne pouvait pas s'y tromper, une quinzaine de photographes amateurs avec chacun leurs trépieds et filtres sur leurs objectifs étaient tournés vers le panorama. C'est le moment que choisit un des petits malins pour se mettre en tenue d'Adam avant de se placer directement sous la cascade... et cela pendant une bonne vingtaine de minutes, le temps que la lumière perde tout son intérêt. Je pense que tous les photographes détestaient profondément ce type qui avait réussi à pourrir toute leur séance photo de la soirée. Merci à lui. Sur mes photos, si vous cherchez bien, vous devriez pouvoir l'observer. Heureusement il apparait en tout petit, mais une photo de ce type est plutot destinée à un grand format et donc il est clair qu'il serait impossible d'occulter sa présence. Hahahaha, sacré lui va.
La deuxième soirée nous amena à avaler un petit burger très agréable parce que bon faut pas se laisser aller. Deuxième nuit où nous avons échangé les rôles et où j'ai récupéré le lit avec mon pote et la troisième protagoniste a fait la connaissance de la moquette du motel pourri. Cela étant, tout le monde a à peu près bien dormi (j'ai limite moins bien dormi que sur le sol... étrange...) et nous avons pu attaquer la troisième journée qui s'est finalement beaucoup résumée au chemin retour. Nous avons suivi la côte le long de la baie de Monterrey en partant de Pacific Grove, le point le plus au sud de la Baie, faite de rochers et nous avons de nouveau crapahuté, pêché des crabes, jeté des canettes qui trainaient sur les rochers (raaah saloperie de touristes), observé des gens faire du kayak de mer, pris des photos des mouettes le plus près possible, etc... Puis direction le nord et un petit Parc d'état sur la route dont je n'arrive pas à retrouver le nom (ni même sur une carte, c'est dire que ça devait être petit). Là, entre footballeurs, on a profité d'une plage pour tapoter un peu le ballon, s'entrainer aux retournés acrobatiques et puis creuser un trou pour s'enfoncer un peu dans le sable jusqu'à la taille parce que ça faisait longtemps quand même !
Puis, ayant repris l'autoroute et voyant le chemin qui nous restait, nous avons tracé jusqu'à Berkeley pour une arrivée aux alentours de 18h et le temps de se retrouver pour préparer un peu de nourriture asiatique (oui on m'initie un peu à la préparation de chow mein et autres mets orientaux) et passer un peu de temps à faire un puzzle du Yosemite en refaisant le monde. Y'a pas à dire, c'est cool les week-ends !
Le lieu choisi fut la zone de Big Sur, zone côtière située à environ 3 heures de route de San Francisco en direction du sud. Elle est caractérisée par l'effondrement de la montagne côtière dans l'océan et donne donc lieu à des points de vue particulièrement impressionnants. J'avais eu l'occasion de traverser cette zone au pas de course lors d'un voyage en voiture en direction de Los Angeles et d'ainsi tout le potentiel de celle-ci.
Les trois jours furent alors occupés entre randonnées, découverte de la ville de Monterrey et de ses rochers et appréciation de points de vue extraordinaires. Ce week-end fut également à placer sous le signe du règne animal avec la rencontre de diverses espèces, tant terrestres que maritimes ou aériennes. Le premier jour, celui de l'arrivée sur les lieux, nous décidâmes d'entamer notre visite par la randonnée qui allait s'avérer être la plus longue mais pas forcément la plus chatoyante.
Nous avons ainsi atterri dans le Big Pfeiffer State Park (oui la zone de Big Sur est en fait découpée en plusieurs Parcs d'Etat et non un grand Parc National. Elle est cependant très liée à une zone Nationale : la Los Padres National Forest, mais bon on ne peut pas non plus la décrire comme un Parc National.. bref) et attaqué la randonnée qui nous allait nous amener au pied du Mont Manuel. Cette randonnée ne fut pas choisie au hasard.. un de nos protagonistes portant ce nom, il semblait logique qu'il doive gravir la Manuel Trail en direction du Manuel Peak, c'était drole. Oui on s'amuse avec un rien mais que voulez-vous. Bref, notre ascension dura près de 3 heures (bon on a commencé vers 16h.. le trajet aller fut un peu super long) au sein de collines plus vertes les unes que les autres. C'est bien simple, on aurait rien dit le fond d'écran basique de Windows... mais si, celui avec la colline toute verte et le petit nuage blanc en plein milieu ! Bon j'espère que vous voyez duquel je parle ! Pris dans les collines, nous n'avions pas au départ vu sur grand chose, mais au fur et à mesure que nous avons gravi les collines, nous avons pu avoir vue sur l'océan et les collines environnantes ce qui n'était ma foi pas désagréable du tout. Vu l'heure tardive à laquelle nous avons commencé, nous ne pûmes atteindre le sommet convoité et avons du nous arrêter alors qu'il était à portée de vue. Bien nous en a pris de rebrousser chemin, nous avons atteint la voiture au moment où l'obscurité devenait réellement gênante et je n'ose pas trop imaginer ce qui aurait pu arriver si nous avions retardé notre retour étant donné que tout le chemin se faisait sur un flanc de colline relativement escarpé. J'ai d'ailleurs failli tomber, ainsi qu'un des mes collègues.
Ce premier jour fut donc rapide mais épuisant (5 heures de marche tout de même avec pour ma part un sac relativement lourd, voulant épargner les autres d'une surcharge inutile). Nous nous sommes donc écroulés dans un motel relativement miteux dans la ville de Salinas située à environ une heure de voiture du parc que nous venions de quitter. Anecdote amusante, j'avais réservé pour 3 personnes, nous sommes arrivés à quatre et il s'est avéré que la chambre ne contenait qu'un seul lit... Oui il est possible de réserver pour 3 personnes et n'avoir qu'un lit double... Bref, j'ai passé la nuit avec mon pote Manuel sur le sol, reposant néanmoins sur le dessus de lit plutot épais qui était heureusement fourni. Au final, cette nuit ne fut pas si horrible et mon corps ne cria pas au désespoir le lendemain.
Deuxième journée, la plus complète, nous fit débuter par la ville de Monterrey située à quelques encablures de notre motel. Cette ville est célèbre pour son aquarium, mais l'effet "week-end de 3 jours" ayant attiré un nombre extrêmement conséquent de touristes, nous abandonnâmes l'idée de le visiter dès que nous avons pu observer le nombre de gens qui attendaient pour y entrer. Par contre, nous avons pu nous poser au bord de l'océan et observer la vie animale qui y est fortement présente. Ainsi, nous avons pu voir des Sea Otters (loutres de mer) se balader sous le nez des touristes charmés par leur charisme et plus fort, nous avons pu aller quasiment au contact d'un Seal (phoque) venu se reposer sur les rochers à fleur de côte. Après ce premier contact animalier, nous nous sommes attaqués à la chasse aux crabes, aux anémones et autres étoiles de mer qui pulullent les rochers alentours. Intermède relaxant et amusant. J'ai pour ma part nettement plus profité des rochers pour crapahuter et m'entrainer à grimper sur tout ce que je pouvais. Comme d'habitude en somme.
Ceci nous occupa la matinée et nous avons ensuite trouvé réconfort dans un restaurant japonais à nous repaître de sushis et pour ma part, d'un succulent udon. Suite à cela, une des protagonistes nous abandonna pour raisons familiales (oui ça reste un week-end familial pour les locaux) et nous avons continué notre route à trois, en direction d'un point bien plus éloigné : le Julia Pfeiffer State Park. Parc d'état situé le plus au sud dans la zone de Big Sur, il abrite quelques pistes de randonnées et surtout une vue imprenable sur une cascade débouchant directement sur une plage. Vision de paradis en quelque sorte. Première arrivée en début d'après-midi, nous jetons un oeil à cette vue puis décidons d'aller se balader sur une piste de randonnée. Malheureusement, un panneau nous indique qu'elles sont fermées pour cause de grands dommages survenus deux ans auparavant, où un feu esquinta une grande partie de la forêt. Bon.. effectivement, nous prîmes le chemin de la randonnée pour suivre un peu le cours d'eau qui nous invitait à le remonter et nous arrivâmes rapidement sur un petit panneau nous empêchant de continuer. Mais le chemin était trop tentant et nous avons ignoré l'interdiction pour nous aventurer un peu plus loin sur le chemin. En fait, la piste était effectivement encombrée de nombreux obstacles un peu partout, mais n'était absolument pas impraticable et ne justifiait point du tout une interdiction. Cette balade, alors libérée de tout touriste, fut la plus agréable car abritée du soleil, au fil d'une rivière agitée et composée de nombreuses petites cascades. Et puis les obstacles c'est plus drole, car il faut se trouver son chemin plutot que de suivre bêtement la piste. Vraiment très agréable. Et cette balade atteignit son point culminant au moment où nous avons eu l'énorme chance de pouvoir observer dans le ciel, le locataire le plus majestueux des lieux : un condor ! Alors je mets ici une des meilleures photos que j'ai pu avoir, mais ce ne fut pas simple, il était loin.. Mais quelle chance cela était ! Pour information, les condors dans cette zone seraient de l'ordre de la quinzaine et de l'ordre de 150 dans le monde. Ca fait pas lourd :) Donc on a eu une chance assez incroyable sur le coup.
Après cette rencontre, nous avons pris le chemin du retour et sommes retournés au panorama enchanteur de la vision de paradis sous un soleil couchant. Point amusant, la cascade donnant sur la plage est normalement interdite d'accès mais il est néanmoins possible de l'atteindre (nous ne l'avons pas fait car chemin bloqué pour cause de protection de la nature en elle-même, pas parce que c'était dangereux, chose qui ne nous aurait pas arrêtée) et quelques petits malins se situaient à la base de la cascade au moment où la lumière était la meilleure pour les photos. On ne pouvait pas s'y tromper, une quinzaine de photographes amateurs avec chacun leurs trépieds et filtres sur leurs objectifs étaient tournés vers le panorama. C'est le moment que choisit un des petits malins pour se mettre en tenue d'Adam avant de se placer directement sous la cascade... et cela pendant une bonne vingtaine de minutes, le temps que la lumière perde tout son intérêt. Je pense que tous les photographes détestaient profondément ce type qui avait réussi à pourrir toute leur séance photo de la soirée. Merci à lui. Sur mes photos, si vous cherchez bien, vous devriez pouvoir l'observer. Heureusement il apparait en tout petit, mais une photo de ce type est plutot destinée à un grand format et donc il est clair qu'il serait impossible d'occulter sa présence. Hahahaha, sacré lui va.
La deuxième soirée nous amena à avaler un petit burger très agréable parce que bon faut pas se laisser aller. Deuxième nuit où nous avons échangé les rôles et où j'ai récupéré le lit avec mon pote et la troisième protagoniste a fait la connaissance de la moquette du motel pourri. Cela étant, tout le monde a à peu près bien dormi (j'ai limite moins bien dormi que sur le sol... étrange...) et nous avons pu attaquer la troisième journée qui s'est finalement beaucoup résumée au chemin retour. Nous avons suivi la côte le long de la baie de Monterrey en partant de Pacific Grove, le point le plus au sud de la Baie, faite de rochers et nous avons de nouveau crapahuté, pêché des crabes, jeté des canettes qui trainaient sur les rochers (raaah saloperie de touristes), observé des gens faire du kayak de mer, pris des photos des mouettes le plus près possible, etc... Puis direction le nord et un petit Parc d'état sur la route dont je n'arrive pas à retrouver le nom (ni même sur une carte, c'est dire que ça devait être petit). Là, entre footballeurs, on a profité d'une plage pour tapoter un peu le ballon, s'entrainer aux retournés acrobatiques et puis creuser un trou pour s'enfoncer un peu dans le sable jusqu'à la taille parce que ça faisait longtemps quand même !
Puis, ayant repris l'autoroute et voyant le chemin qui nous restait, nous avons tracé jusqu'à Berkeley pour une arrivée aux alentours de 18h et le temps de se retrouver pour préparer un peu de nourriture asiatique (oui on m'initie un peu à la préparation de chow mein et autres mets orientaux) et passer un peu de temps à faire un puzzle du Yosemite en refaisant le monde. Y'a pas à dire, c'est cool les week-ends !
Revenir alors que l'obscurité est présente... bandes de fous! (Manu devait être triste, faillir dans sa propre ascension!)
RépondreSupprimeryeap bon weekend comme on les aime ;)
PS: où était Eve?